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Radovid V est le roi de Redania.
Radovid V dans The Witcher[]
Dans The Witcher[]
On entend parler de Radovid ça et la pendant le jeu, mais dans le Chapitre III, Geralt le rencontre enfin face-à-face, et à nouveau pendant l’épilogue. Pour leur première rencontre les deux hommes ne sont pas actuellement dans le même endroit. Ils se parlent à l'aide d'un télécommunicateur, le miroir d'Hartmann. Pour la deuxième rencontre, les deux peuvent enfin se serrer la main dans le Repaire de Radovid. Leur dernière rencontre a lieu dans la Vieille Wyzima.
Dans le jeu, Radovid, comme son père avant lui, essaie de réunir les familles royales de la Rédanie et la Témérie. À cause de cet ambition, il demande au sorceleur son opinion sur la princesse Adda.
Si Geralt réussit a désenvoûter Adda à nouveau, il y a un tableau «joyeux » présenté à la fin du jeu qui montre le couple heureux avec un futur plein d’espoir avec l'union des deux royaumes. Si Geralt tue la strige, Radovid doit régner seul.
Dans The Witcher 2: Assassins of Kings[]
Entrée de Journal[]
- Lorsque le père de Radovid, Vizimir II, fut assassiné il y a quelques années, le prince avait à peine treize printemps. Le pays avait alors sombré dans le chaos, comme souvent dans de telles circonstances, et la reine Edwige s'était trouvée bien incapable de contrôler la situation. L'aristocratie avait commencé à s'organiser en factions, chacun voulant sa part du gâteau. Certains – avec une certaine expérience et un sens de l'engagement tout particulier – en avaient pratiquement léché les bottes des émissaires nilfgaardiens. Le Conseil de régence, convoqué pour sauver le royaume du conflit, avait accompli sa mission et fait pendre les traîtres, certes, mais non sans afficher un certain mépris pour son jeune dirigeant. Parmi les nobles redaniens, personne ne s'attendait donc à ce que Radovid devînt un monarque déterminé qui se vengerait de toutes les humiliations infligées à sa mère et à lui-même durant la régence. Si son père avait hérité du surnom de Vizimir le Juste"
Si Geralt s'allie avec Iorveth :
- D'ailleurs, la magicienne Philippa Eilhart apprit à ses dépens à quel point le sobriquet de Radovid crevait les yeux… au sens propre. Après lui avoir annoncé les charges qui pesaient contre elle, en les appuyant avec les informations de l'émissaire impérial et avec un soupçon d'animosité, le roi l'énucléa. Radovid prouva ainsi que, lorsqu'il s'agissait de punir, il n'avait jamais froid aux yeux… au sens figuré.
- Même avant que Geralt ne me fît part de ses impressions sur sa conversation avec Radovid, j'avais l'intime conviction que je préférerais éviter tout intérêt du monarque redanien pour ma modeste personne. Lorsque Geralt atterrit dans son donjon, le roi se fit un plaisir de lui faire la liste des arguments expliquant pourquoi la raison d'État ne leur réservait rien de bon, à Triss et à lui. Il précisa tout de même qu'il n'avait, personnellement, rien contre le sorceleur.
- À la différence du fier et parfois égocentrique Foltest, ou du grossier et lunatique Henselt, le roi de Redania était un politicien réservé et calculateur. Geralt apprit vite que ce n'était pas le genre d'homme à se laisser duper ou embrouiller par des insinuations. Le roi savait reconnaître la fausseté, tout en soutirant à son interlocuteur tous les renseignements qu'il désirait.
- Radovid avait des projets bien précis pour son voisin alors plongé dans le chaos, Temeria. À l'approche d'une nouvelle guerre contre Nilfgaard, il fit alliance avec le roi de Kaedwen pour diviser Temeria et devancer l'Empire dans la conquête de ces terres.
Si Geralt s'allie avec Roche :
- Radovid voulait se servir de Geralt pour récupérer Anaïs de La Valette. La benjamine du roi Foltest, qui ne savait rien de tout cela, était en effet un atout majeur pour qui voulait prétendre à la succession du défunt Foltest.
- Et donne Anaïs de La Valette à Radovid :
- Radovid avait des projets bien précis pour son voisin alors plongé dans le chaos, Temeria. Lorsque le sort, incarné par un certain sorceleur et un certain commandant des Stries Bleues, lui livra Anaïs de La Valette, fille illégitime du roi Foltest, le roi redanien était enfin en mesure de placer Temeria sous protectorat redanien. Grâce à de savantes manœuvres politiques, Radovid renforça ainsi de façon significative sa position et celle de son royaume.
- Et donne Anaïs de La Valette à Jan Natalis:
- Radovid avait des projets bien précis pour son voisin alors plongé dans le chaos. Mais lorsque le sort, incarné par un certain sorceleur et un certain commandant des Stries Bleues, livra Anaïs de La Valette, fille illégitime du roi Foltest, aux mains du régent temerien Jan Natalis, Radovid dut dire adieu à ses espoirs de conquête temerienne.
Dans The Witcher 3: Wild Hunt[]
Entrée de Journal[]
- Il ne fallut pas longtemps au roi Radovid V de Redania pour établir son statut de suzerain dur et implacable, qui lui valut le surnom bien choisi de "Sévère". Son père, le roi Vizimir, fut assassiné alors que Radovid était très jeune. Sa mère, Edwige de Malleore, régna en son nom à la tête d'un conseil de régence. Mais le jeune Radovid s'empara bientôt du pouvoir et exerça sa vengeance sur ceux qui lui avaient manqué de respect. Tous ses opposants eurent le choix entre lui prêter allégeance… ou mourir. Il guerroya contre le Nilfgaard, mais aussi contre les mages en qui il voyait l'origine du mal. Radovid ne ménagea pas non plus ses efforts pour s'emparer de Novigrad : la flotte et le trésor de la ville libre pouvaient faire pencher la balance en sa faveur
- L'entrevue de Geralt et Radovid confirma les rumeurs qui couraient au sujet de la santé mentale du souverain. Le roi de Redania était un fou dangereux, prisonnier d'un vase clos de visions dérangeantes. Ce qui, hélas, ne le rendait pas moins intelligent ou rusé d'un iota. Malgré sa maladie mentale, le jeune roi manipulait ses adversaires à la manière d'un marionnettiste chevronné.
- Radovid brûlait d'une hostilité particulière, qui trouvait ses origines dans sa prime jeunesse, envers la magicienne Philippa Eilhart. Les rumeurs bruissaient de tortures spéciales conçues pour elle… et si certains détails relevaient sans conteste de l'exagération, l'ensemble rendait fidèlement compte de la haine qu'il lui vouait.
- Le règne de terreur de Radovid conduisit ses ennemis, mais aussi ses alliés et jusqu'à ses sujets à souhaiter une mort rapide au souverain.
Si Geralt participe à l'assassinat de Radovid:
- La formule "monstre à figure humaine" sied comme un gant à Radovid le Sévère. Ce fut peut-être la conscience des atrocités commises par ce dément qui incita le sorceleur à s'intéresser aux préparatifs de son assassinat.
- Sa haine envers Philippa Eilhart fut le point faible de Radovid. Il était prêt à tout pour la capturer… même à renoncer à la sécurité de son vaisseau amiral.
- Le plan visant à faire sortir Radovid de sa cachette fonctionna, mais n'alla pas sans complications. Irrité par la traditionnelle insolence de Geralt, Radovid exigea la tête du sorceleur, et Geralt n'échappa à la hache du bourreau que grâce à l'intervention des autres conjurés. Le retard que cela occasionna permit presque au suzerain d'esquiver ses assassins, mais il ne trompa pas la mort bien longtemps et périt de la main de Philippa Eilhart qui fondit sur lui, tel un démon vengeur venu lui faire payer les torts commis envers elle.
Apparitions[]
Notes et références[]
Notes[]
Références[]