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Novigrad
V.O.
Novigrad
Informations sociétales
Langue(s)
Langue commune
Religion(s)
Feu Eternel
Monnaie(s)
Couronne
Démographie
Population
30000 hab.
Gentilé
Novigradien(ne)

Novigrad est une ville de Redania qui compte trente mille habitants : humains, nains, elfes métis, hobbits et gnomes, et peut-être deux fois plus de gens de passage.[1]

Novigrad, ce sont des maisons en briques, les rues principales de la ville pavées, un port de mer, des entrepôts, quatre moulins à eau, des abattoirs, des scieries, une grande manufacture de souliers à poulaine, et toutes les corporations et artisans souhaitables, un hôtel de la monnaie, huit banques et dix-neuf monts de piété, un château et une tour de garde à couper le souffle, et puis toutes sortes de divertissements : un échafaud, un gibet équipé d’une trappe, trente-cinq auberges, un théâtre, un parc zoologique, un bazar et douze maisons closes.[1]

Novigradiens notables[]

Repères[]

Histoire[]

Avant le Premier débarquement, Novigrad était une ville elfique. Après leur second conflit avec les humains, les elfes se replièrent et laissèrent leurs villes intactes laissant les humains construirent sur les fondations des elfes.[2] Ce fut le cas pour Novigrad quand Sambuk créa le premier état humain sur le Bas-Pontar et la Lucoméranie.[3] Pendant le règne de Vestibor le Fier, la Temeria s'empara de Novigrad et du delta du Pontar durant la Guerre de Sept Ans [4] mais Radowid III le Hardi récupéra les terres sur les rives des fleuves Buina et Nimnar, fixant la frontière nord sur le fleuve Braa. Le différent avec la Temeria au sujet de l'estuaire du Pontar s'est terminé par un compromis consistant à appeler Novigrad une ville libre. [5]

Sous la plume de Sapkowski[]

[...]Aucune des filles que je connais – et j’en connais beaucoup – ne semble dépasser les vingt-cinq, trente ans, même si certaines, paraît-il, se souviennent du temps où Novigrad n’était encore qu’une forêt de conifères.[...]
— « Les limites du possible », dans la collection L'Épée de la Providence, Chapitre ?.

— Tu n’arrives décidément pas à suivre la mode, répondit le barde en grimaçant et en lissant sa plume de poule de la manche bouffante de son pourpoint bleu brillant à encolure crénelée. Je suis heureux de te rencontrer à Novigrad, la capitale, le centre et le cœur culturels du monde. Un homme éclairé peut respirer à pleins poumons ici !
— Allons donc respirer une rue plus loin, proposa Geralt en voyant un va-nu-pieds accroupi, les yeux écarquillés, en train de déféquer dans une ruelle adjacente.
— Ton sarcasme continuel devient énervant, dit Jaskier en grimaçant de nouveau. Novigrad, Geralt, ce sont des maisons en briques, les rues principales de la ville pavées, un port de mer, des entrepôts, quatre moulins à eau, des abattoirs, des scieries, une grande manufacture de souliers à poulaine, et toutes les corporations et artisans souhaitables, un hôtel de la monnaie, huit banques et dix-neuf monts de piété, un château et une tour de garde à couper le souffle, et puis toutes sortes de divertissements : un échafaud, un gibet équipé d’une trappe, trente-cinq auberges, un théâtre, un parc zoologique, un bazar et douze maisons closes… Je ne me souviens plus combien de temples. Beaucoup en tout cas. Et toutes ces femmes, Geralt, propres, bien peignées et odorantes… Ces satins, ces velours, cette soie, ces buses, ces rubans.

— « Le Feu éternel », dans la collection L'Épée de la Providence, Chapitre ?.

— Écoute, répondit le sorceleur en essayant vainement de recoudre la manche déchirée de sa veste. Nous sommes à Novigrad, une ville qui compte trente mille habitants : humains, nains, elfes métis, hobbits et gnomes, et peut-être deux fois plus de gens de passage. Comment veux-tu retrouver quelqu’un dans cette foule ?
— « Le Feu éternel », dans la collection L'Épée de la Providence, Chapitre ?.

— Ils savaient qu’ils ne reviendraient plus. Cela s’est passé après leur second conflit avec les humains, il y a plus de deux cents ans de cela. Auparavant, lorsqu’ils se repliaient, ils laissaient leurs villes intactes. Les humains construisaient sur les fondations des elfes. C’est ainsi que furent créées Novigrad, Oxenfurt, Wyzima, Tretogor, Maribor, Cidaris. Et Cintra.
Le Sang des Elfes, Chapitre ?.


Novigrad dans les adaptations[]

Dans The Witcher 3: Wild Hunt[]

Description[]

Cette métropole faisait partie autrefois de la Redania, mais elle a aujourd'hui le statut de ville libre. Novigrad est la plus grande cité du monde, et certainement la plus riche aussi. Le culte du Feu Éternel est implanté dans la ville, qui est dirigée officiellement par le hiérarque de cette église, même si les gros bonnets de la pègre ont aussi leur mot à dire.

Cette section contient des spoilers.

Au début du jeu, Novigrad conserve son statut de ville libre, et attire la convoitise des deux camps, Redania et Nilfgaard. La pègre et le feu éternel contrôlent la ville.

Après avoir trouvé Ciri, la ville est annexée sans combats par la Redania et sert de lieu à Radovid pour mener ses opérations. Les anciennes lois sont maintenues avec la mise en place de patrouilles rédaniennes.

Si Geralt a aidé Triss à sauver les mages, les non-humains sont traqués et tués. S'il ne l'aide pas, ces derniers continuent leur vie normale, et les mages restent persécutés à la place.

Si Radovid est assassiné et que Dijkstra est tué, la ville devient Nilfgaardienne.

Fin des spoilers.

Dans Gwent: The Witcher Card Game[]

Arbre des récompenses[]

Parchemin 1 : Ah, Novigrad ! Trente mille habitants, huit banques, quatre moulins à eau… Et cinq gangs particulièrement dangereux.
Parchemin 2 : Chaque habitant de Novigrad connaît le nom des plus puissants chefs de la pègre : Surin, le Roi des mendiants, Gudrun Bjornsdottir, le Petit Bâtard et Cyrus Hemmelfart.
Parchemin 3 : Ils ne pourraient pas être plus différents les uns des autres, tant par leur âge, leur race, leur sexe que leur attitude. Cependant, il y a entre eux un dénominateur commun, une caractéristique qui les réunit… Leur amour de l'argent.
Parchemin 4 : Pour une bourse pleine d'or, ils sont prêts à tout, aussi bien à trahir, qu'à détruire ou tuer. Et ils le feront le sourire aux lèvres.
Coffre 1 : Novigrad est non seulement la ville portuaire la plus importante du continent, mais aussi le siège de l'Église du Feu Éternel. C'est de là que préside le hiérarque du culte, là que brûle la flamme sacrée… C'est là aussi que nombre de sorciers, herboristes, alchimistes et non-humains sont brûlés vifs sur des bûchers.
Coffre 2 : Certes, Novigrad reste une ville libre, mais pour combien de temps encore ? Les Redaniens comme les Nilfgaardiens convoitent la ville portuaire et ses richesses. Tous tentent de s'attirer les faveurs des dirigeants de la ville, du clergé et de la pègre, et de renforcer leur influence auprès d'eux. Le prix de leur loyauté, cependant, n'est pas des moindres…
Coffre 3 : Des gens du monde entier affluent à Novigrad, poussés par des rêves de richesse et de gloire, aspirant au luxe et au pouvoir. Les rêves de quelques chanceux se concrétisent bien… Mais ce qui attend tous les autres, ce n'est qu'une vie de misère, à quémander quelques pièces ou prier les dieux de leur fournir une autre dose de fisstech.

Notes et références[]

Notes[]


Références[]