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Niedamir de Caingorn est le fils d'Audoen, roi d'Hengfors.

Apparence et caractère[]

Niedamir de Caingorn dans la Saga[]

Dans Les limites du possible[]

Il participa à la chasse au dragon à cause de sa volonté de soumettre la principauté de Malleore. En effet, après la mort soudaine de son prince, la principauté de Malleore fut laissée entre les mains de sa fille, une princesse que la noblesse essayait d'utiliser pour augmenter son influence, ce qui aurait été plus compliqué si elle avait été mariée. Lorsque Niedamir demanda sa main, la noblesse utilisa une ancienne prophétie disant que la princesse ne pouvait se marier qu'à un homme ayant tué un dragon. Niedamir ne s'embarrassa pas de cela et prit Malleore par la force. En revanche, le dragon de la nouvelle lui aurait permis de prendre la noblesse à son propre piège et faire taire l'opposition.

Après Les limites du possible[]

Quelques temps après, il forma la Ligue de Hengfors avec Malleore et Creyden. Pendant la Seconde Guerre nordique, la ligue resta neutre.

Sous la plume de Sapkowski[]

— Je me fous du peuple de Malleore, pour reprendre l’expression de sieur Boholt, répondit Niedamir. Le trône de Malleore m’appartient de toute façon : trois cents cuirassiers font régner ma loi à Caingorn et j’ai mille cinq cents fantassins contre leurs mille mauvais pavois. Ils devront reconnaître ma légitimité. Tant que je pendrai, pourfendrai et fendrai les routes à cheval, ils devront reconnaître ma légitimité. Leur princesse, ce veau gras, je lui cracherai sur la main. Je n’ai besoin que de son ventre pour qu’elle me fasse des héritiers. Après, je m’en débarrasserai. Avec la bonne vieille méthode de maître Kozojed. Assez parlé, Gyllenstiern. Il est temps d’exécuter mes ordres.
— « Les limites du possible », dans la collection L'Épée de la Providence.


[...]Que tout le monde sache que dans mon État tu es en sécurité, alors que mes ennemis non seulement te refusaient la couronne, mais s’efforçaient aussi d’attenter à ta vie. (Le regard de l’empereur de Nilfgaard s’arrêta sur les envoyés d’Esterad Thyssen, le souverain de Kovir, et sur les ambassadeurs de Niedamir, le roi de la Ligue d’Hengfors.) Que le monde entier connaisse la vérité, y compris les rois qui semblaient ne pas savoir de quel côté se trouvaient la raison et la justice. Et que le monde entier apprenne qu’une aide te sera apportée. Tes ennemis et mes ennemis seront vaincus. À Cintra, à Sodden et à Brugge, à Attre, sur les îles Skellige et à l’embouchure de la Yarra régnera de nouveau la paix, et toi tu t’assiéras sur le trône pour la plus grande joie de tes compatriotes et de tous les épris de justice.
Le Temps du Mépris, Chapitre ?.


Notes et références[]

Notes[]


Références[]