Les Naïades sont l'une des races du Continent.
Sous la plume de Sapkowski[]
— Elle nage comme un petit phoque, dit en éclatant de rire Margarita tandis qu’elle se prélassait auprès de Yennefer sur une paillasse en bois. Et gracieuse comme une naïade ! Tu me la laisses, Yenna ?
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Le Temps du Mépris, Chapitre ?.
Non loin de là frémissait une fontaine ; l’eau jaillissait d’un pot tenu par une naïade, tous deux en marbre, puis retombait en quatre ruisseaux dans un petit bassin, emportant dans le courant des feuilles de nénuphars parmi lesquelles s’ébattaient des poissons dorés.
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Le Baptême du Feu, Chapitre ?.
Notes et références[]
Notes[]
- ↑ Dans la mythologie grecque, les naïades (du grec Ναϊάδες / Naïádes ou Ναίδες / Naídes ou Νάιτιδες / Náitides, de νάειν / náein, « couler ») sont des nymphes aquatiques qui vivent dans les eaux douces, en particulier les rivières, les sources, les fontaines, etc. Elles font l'objet d'un culte particulier. Elles passent pour les filles de Zeus, des dieux fleuves ou de l'Océan (c'est pourquoi elles sont les sœurs des Néphélées), et sont parfois comptées au nombre des prêtresses de Dionysos. Quelques auteurs en font les mères des satyres et de Silène.