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[[Image:Melitele.jpg|thumb|250px|Melitele temple in an illustration from ''[[Wiedźmin: Gra Wyobraźni]]'' PnP RPG by [[Jarosław Musiał]]]]
 
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{{Infobox Divinité
Parmi les nombreuses religions des Nordiques, la plus répandue est celle du ''' Culte de Melitele''', une déesse qui peut prendre trois formes : celle d’une fillette, d’une femme ou d’une vieillarde. Melitele est la déesse mère qui prend soin de ses enfants, la «Grande Matrice», symbole du cycle de la vie. Les femmes lui
 
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adressent leurs prières, mais les hommes peuvent bien entendu faire de même. Le plus grand [[Temple de Melitele|temple]] de Melitele se trouve à [[Ellander]], où ses prêtres ses prêchent avant tout l’amour et la paix et dont la prêtresse en chef est [[Nenneke]]. A travers les royaumes, les Inquisitrices de Melitele, des femmes aux puissants dons de guérisseuses, viennent en aide aux malades et aux blessés.
 
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| Nom en v.o. = ''Melitele''
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| Nom = Melitele
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| Région de culte = [[Continent]]
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| Temple = [[Temple de Melitele (Ellander)|Temple d'Ellander]]
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Le '''Culte de Melitele''' était l’un des plus anciens et avait été en son temps l’un des plus répandus. Ses débuts remontaient à une époque immémoriale, avant l’apparition de l’homme. Presque toutes les races pré-humaines et toutes les tribus humaines primitives, encore nomades, avaient vénéré une déesse des récoltes et de la fertilité, protectrice des agriculteurs et des jardiniers, patronne de l’amour et du couple. La plupart de ces cultes s’étaient fondus dans celui de Melitele.<ref name=":0">''[[Le Dernier Vœu]], [[La Voix de la raison]]</ref>
   
 
Le temps, qui s’était montré plutôt sans pitié pour les autres religions et les autres cultes en les isolant efficacement dans des chapelles reculées et de petites églises oubliées, rarement visitées, enfouies dans les constructions des villes, s’était révélé clément pour Melitele. Melitele ne manquait ni d’adeptes ni de mécènes. Les Lettrés qui analysaient ce phénomène expliquaient généralement la popularité de la divinité en remontant aux précultes de la Grande Matrice, la mère nature. Ils soulignaient ses liens avec le cycle de la nature, avec le renouveau et d’autres phénomènes encore, aux noms ronflants.<ref name=":0" />
   
 
Un ami de Geralt, le troubadour Jaskier, qui aimait passer pour un spécialiste dans tous les domaines possibles et imaginables, cherchait des explications plus simples. Le culte de Melitele, expliquait-il, était un culte typiquement féminin. Melitele était la patronne de la fécondité, de l’enfantement, la protectrice des sages-femmes. Les femmes en couches devaient crier. Outre les hurlements habituels, leurs promesses en l’air, dont la teneur était toujours la même – plus jamais elles ne se donneraient à un gars à la manque –, toutes les femmes qui accouchaient ne pouvaient appeler à leur secours qu’une divinité, et Melitele était la déesse de la situation. Comme les femmes avaient toujours accouché, accouchaient et accoucheraient, démontrait le poète, alors la déesse n’avait pas à craindre de perdre de sa popularité.<ref name=":0" />
{{Citation|DV|44-45|''Le culte de la déesse Melitele était l'un des plus anciens et avait été en son temps l'un des plus répandus. Ses débuts remontaient à une époque immémoriale, avant l'apparition de l'homme. Presque toutes les races pré-humaines et toutes les tribus humaine primitives, encore nomades, avaient vénéré une déesse des récoltes et de la fertilité, protectrice des agriculteurs et des jardiniers, patronne de l'amour et du couple. La plupart des ces cultes s'étaient fondus dans celui de Melitele.
 
   
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== Prêtre(sses) notables ==
''Le temps, qui s'était montré plutôt sans pitié pour les autres religions et les autres cultes en les isolant efficacement dans des chapelles reculées et de petites églises oubliées, rarement visitées, enfouies dans des constructions des villes, s'était révélé clément pour Melitele. Melitele ne manquait ni d'adeptes ni de mécènes. Les Lettrés qui analysaient ce phénomène expliquaient généralement la popularité de la divinité en remontant aux pré-cultes de la Grande Matrice, la mère nature. Ils soulignaient ses liens avec le cycle de la nature, avec le renouveau et d'autres phénomènes encore, aux noms ronflants. Un ami de [[Geralt]], le troubadour [[Jaskier]], qui aimait passer pour un spécialiste dans tous les domaines possibles et imaginables, cherchait des explications plus simple.
 
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''Le culte de Melitele, expliquait-il, était un culte typiquement féminin. Melitele était la patronne de la fécondité, de l'enfantement, la protectrice des sages-femmes. Les femmes en couches devaient crier. Outre les hurlement habituels, leurs promesses en l'air, dont la teneur était toujours la même - plus jamais elles ne se donneraient à un gars à la manque -, toutes les femmes qui accouchaient ne pouvaient appeler à leur secours qu'une divinité, et Melitele était la déesse de la situation. Comme les femmes qui avaient toujours accouché, accouchaient et accoucheraient, démontrait le poète, alors la déesse n'avait pas à craindre de perdre de sa popularité.}}
 
 
 
== Membres du culte ==
 
 
* [[Nenneke]]
 
* [[Nenneke]]
* [[Iola]]
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* [[Iola la Première]]
  +
* [[Iola la Seconde]]
  +
* [[Jarre]]
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}}
   
== {{film/tv}} ==
+
== Notes et références ==
 
=== '''Notes''' ===
[[Image:Nenneke.jpg|thumb|200px|Nenneke (Anna Dymna) dans la série ''The Hexer'']]
 
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<references group="N"/>
   
  +
=== '''Références''' ===
In the TV-series, [[Geralt]] visits Nenneke a number of times, meeting Iola and [[Ciri]], too.
 
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<references />
However, the series deviates severely from the books, for the temple of Melitele is ransacked and the priestesses slain on the orders of [[Falwick]] and [[Renfri]].
 
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__AUCUNSOMMAIRE__
 
The TV series writer also confused the goddess with the temple, as in one scene Falwick says that "Cirilla of Cintra is hiding in Melitele".
 
 
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== {{tw1}} ==
 
 
=== Entrée du [[glossaire]] ===
 
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| [[Image:Journal Glossary.png|150px|Glossaire]]
 
| '''''Culte of Melitele'''''
 
 
''Parmi les nombreuses religions des Nordiques, celle de Melitele est la plus répandue. La déesse peut prendre trois formes : celle d'une fillette, d'une femme ou d'une vieillarde. Melitele est la Grande Matrice qui prend soin de ses enfants. Les femmes ne sont pas ses seules fidèles : les hommes la prient aussi. Les prêtres de Melitele prêchent l'amour et la paix. Ils s'occupent de nombreux hôpitaux, asiles et orphelinats.''
 
|}
 
[[Image:People Novice nun.png|right|100px|A nurse of Melitele.]]
 
 
=== Source ===
 
:* [[Cultes et religions des Nordiques]]
 
 
 
=={{Tw2}}==
 
Le livre [[La Grande Trinité]] parle de Melitele.
 
 
=== Entrée de journal ===
 
: ''La grande Melitele est, entre autres choses, la déesse de l'amour, du mariage, de la fertilité, de la nature et de l'abondance. Son culte est né du mélange de croyances de différentes races et cultures. La popularité de Melitele n'a jamais décru et ce phénomène s'explique de différentes façons. Pour ma part, je pense que les causes en sont immanentes. Le culte de Melitele est un culte majoritairement féminin. La déesse est, entre autres, la protectrice des femmes et de la naissance. Lorsqu'une femme est en travail, elle crie et, mis à part les hurlements et les fausses promesses de ne plus jamais se donner à aucun homme, elle appelle une déité à son aide. Autant dire que Melitele fait parfaitement l'affaire. Comme les femmes ont eu, ont et auront toujours des bébés, la déesse Melitele n'a pas à craindre que son nombre de fidèles ne décroisse.''
 
 
 
== Notes ==
 
:* L'[[Hôpital de Lebioda]] au [[Quartier du Temple]] de [[Wyzima]] était autrefois un temple de Melitele. Sa statue est toujours là.
 
:* Il y a trois statues featuring the three forms of the goddess can be found in Vizima: one at [[Hôpital de Lebioda|hôpital]], one in the [[Autel de Melitele|marais]] and another in the [[Quartier des marchands]].
 
:* [[Pèlerinage]], a quest in Act II, is given by [[Pépé]] who wishes to pray at [[Autel de Melitele]].
 
:* If the player chooses to remain neutral, [[Geralt]] is charged with the task of escorting two nurses to the hospital through [[Vieille Wyzima]]'s tumultuous streets.
 
 
=== Galerie ===
 
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Places Altar of Melitele.png|statue à l'hôpital
 
Places Shrine of Melitele.png|statue dans les marais
 
Places Melitele statue.png|statue au Quartier des marchands
 
Portable shrine.png|un autel portatif
 
</gallery>
 
   
 
[[Catégorie:Religions]]
 
[[Catégorie:Divinités]]
 
[[Catégorie:Divinités]]
[[Catégorie:Culture]]
 
 
   
 
[[de:Kult der Melitele]]
 
[[de:Kult der Melitele]]
 
[[en:Melitele]]
 
[[en:Melitele]]
 
 
 
[[it:Melitele]]
 
[[it:Melitele]]
 
[[pl:Melitele]]
 
[[pl:Melitele]]

Dernière version du 23 avril 2022 à 17:47


Sub-Pages:

Le Culte de Melitele était l’un des plus anciens et avait été en son temps l’un des plus répandus. Ses débuts remontaient à une époque immémoriale, avant l’apparition de l’homme. Presque toutes les races pré-humaines et toutes les tribus humaines primitives, encore nomades, avaient vénéré une déesse des récoltes et de la fertilité, protectrice des agriculteurs et des jardiniers, patronne de l’amour et du couple. La plupart de ces cultes s’étaient fondus dans celui de Melitele.[1]

Le temps, qui s’était montré plutôt sans pitié pour les autres religions et les autres cultes en les isolant efficacement dans des chapelles reculées et de petites églises oubliées, rarement visitées, enfouies dans les constructions des villes, s’était révélé clément pour Melitele. Melitele ne manquait ni d’adeptes ni de mécènes. Les Lettrés qui analysaient ce phénomène expliquaient généralement la popularité de la divinité en remontant aux précultes de la Grande Matrice, la mère nature. Ils soulignaient ses liens avec le cycle de la nature, avec le renouveau et d’autres phénomènes encore, aux noms ronflants.[1]

Un ami de Geralt, le troubadour Jaskier, qui aimait passer pour un spécialiste dans tous les domaines possibles et imaginables, cherchait des explications plus simples. Le culte de Melitele, expliquait-il, était un culte typiquement féminin. Melitele était la patronne de la fécondité, de l’enfantement, la protectrice des sages-femmes. Les femmes en couches devaient crier. Outre les hurlements habituels, leurs promesses en l’air, dont la teneur était toujours la même – plus jamais elles ne se donneraient à un gars à la manque –, toutes les femmes qui accouchaient ne pouvaient appeler à leur secours qu’une divinité, et Melitele était la déesse de la situation. Comme les femmes avaient toujours accouché, accouchaient et accoucheraient, démontrait le poète, alors la déesse n’avait pas à craindre de perdre de sa popularité.[1]

Prêtre(sses) notables

Notes et références

Notes


Références