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Melitele est la déesse de l'amour, du mariage, de la fertilité, de la nature et de l'abondance..
Melitele dans The Witcher[]
Dans The Witcher[]
Entrée de Journal[]
- Parmi les nombreuses religions des Nordiques, celle de Melitele est la plus répandue. La déesse peut prendre trois formes : celle d'une fillette, d'une femme ou d'une vieillarde. Melitele est la Grande Matrice qui prend soin de ses enfants. Les femmes ne sont pas ses seules fidèles : les hommes la prient aussi. Les prêtres de Melitele prêchent l'amour et la paix. Ils s'occupent de nombreux hôpitaux, asiles et orphelinats.
Dans The Witcher 2: Assassins of Kings[]
Entrée de Journal[1][]
- La grande Melitele est, entre autres choses, la déesse de l'amour, du mariage, de la fertilité, de la nature et de l'abondance. Son culte est né du mélange de croyances de différentes races et cultures. La popularité de Melitele n'a jamais décru et ce phénomène s'explique de différentes façons. Pour ma part, je pense que les causes en sont immanentes. Le culte de Melitele est un culte majoritairement féminin. La déesse est, entre autres, la protectrice des femmes et de la naissance. Lorsqu'une femme est en travail, elle crie et, mis à part les hurlements et les fausses promesses de ne plus jamais se donner à aucun homme, elle appelle une déité à son aide. Autant dire que Melitele fait parfaitement l'affaire. Comme les femmes ont eu, ont et auront toujours des bébés, la déesse Melitele n'a pas à craindre que son nombre de fidèles ne décroisse.
Dans The Witcher : Le Tome du Chaos[]
Description[]
- Le culte de Melitele, archétype de la déesse de la fertilité et des naissances, est l’un des plus anciens au monde et continue de résister malgré les tentatives d’assimilation des nouvelles religions. Elle est l’incarnation classique de la féminité sous les aspects de la jeune fille, de la mère et de la vieille femme, et partage beaucoup de points communs avec Freya. Il est d’ailleurs envisageable que les deux divinités soient des aspects différents de la même entité. Quelle que soit la vérité, son culte s’est révélé vigoureux et expansif. Melitele est principalement vénérée sous son apparence maternelle, toutefois ses autels montrent ses différents visages et ses temples abritent des statues tripartites où elle dévoile l’intégralité de ses attributs. Comme elle est la protectrice des femmes en couches, son nom revient fréquemment sur les lèvres des femmes souffrantes, qui sont prises en charge par son clergé. En cela, elle est une puissante protectrice des femmes, une entité issue des croyances primitives des premières cultures humaines, fusionnée avec l’aspect et le culte de la déesse.
- Le culte de Melitele est pratiqué dans les royaumes du Nord, dans de vastes temples ou auprès d’autels rudimentaires, mais soigneusement entretenus. Même si elle attire surtout des femmes, les fidèles masculins ne manquent pas. Les hommes dont la femme ou l’amante vit une grossesse difficile et ceux qui espèrent avoir des enfants sont tentés d’adresser des offrandes et des prières à Melitele. Il faut aussi ajouter les gens qui travaillent au contact du monde naturel et dépendent de lui pour leur subsistance. Les fermiers, les bergers et autres ruraux la vénèrent sous son aspect incarnant la nature fertile et généreuse.
- Bien que les autorités régionales du culte soient libres d’agir à leur guise, les dirigeantes se réunissent de temps à autre pour échanger et s’accorder sur la politique future et l’orientation de son Église. L’esprit de coopération s’étend aux autres religions; même si les prêtresses de Melitele ne sont pas d’accord sur tous les plans avec leurs confrères de Kreve ou les disciples plus jeunes et agressifs du Feu Éternel, elles débattent avec eux lors de réunions cléricales et s’efforcent de conclure des accords pacifiques pour pouvoir accomplir leurs missions ecclésiastiques sans entraves. Elles sont en bons termes avec les druides et les fidèles de cultes tournés vers le monde sauvage, conscientes de leurs points de convergence et de leurs origines communes.
- Seules les femmes peuvent devenir prêtresses de Melitele, toutefois les hommes sont libres de la vénérer et de la servir en tant que personnel laïque. L’aide est un pilier des traditions du culte, il n’est pas rare de trouver des prêtresses de Melitele qui sont aussi guérisseuses ou sages-femmes, ou qui soutiennent les populations en période de guerre ou d’épidémie. La structure ecclésiastique a évolué en une forme protocolaire et privilégie l’étude des sciences. Les novices apprennent la biologie, la botanique, la médecine et l’arithmétique en plus de l’étude des écritures saintes. Les jeunes prêtresses acquièrent des connaissances pratiques et des compétences pour leurs futures carrières de guérisseuses et d’aidantes. Pour ce qui est du code vestimentaire, les prêtresses de Melitele portent des robes rouges, grises ou blanches, complétées par une guimpe ajustée ou une cornette. Lors des grandes occasions ou pour être plus visibles dans les zones de guerre ou de crise, elles revêtent par-dessus la guimpe un bandeau surmonté à l’avant d’une grande mitre en bronze poli. Elles ont à la ceinture des aumônières remplies de matériel médical quand elles restent au temple, ou des sacoches lorsqu’elles voyagent. Étant donné qu’elles sauvent des vies dans les moments où les gens sont particulièrement vulnérables, elles ont gagné le respect de la population et sont célèbres pour leur attitude pragmatique et leur caractère imperturbable.
Notes et références[]
Notes[]