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Margarita Laux-Antille est une magicienne et la rectrice d'Aretuza. Elle est également une membre de la Loge des Magiciennes.

Apparence et caractère[]

Margarita Laux-Antille est apolitique dans toutes les différentes variétés de politiques qui existent. Et son école l’est aussi. [1]. La politique ne l'intéresse pas et ne souhaite tout simplement pas que l’on utilise les jeunes filles dont elle a la charge comme condotiers, en perturbant leur esprit avec des slogans sur l’amour de la patrie. Selon elle, la patrie de ces jeunes filles est la magie, c’est cela qu'elle leur enseigne et si quelqu’un engage ses élèves dans la guerre, les place sur un nouveau mont Sodden, elles seront perdantes, indépendamment de l’issue de la bataille. [2].

Margarita Laux-Antille dans la Saga[]

Avant Le Temps du Mépris[]

En 1263, Margarita commença une liaison un homme marié nommer Lars qui se termina quatre ans plus tard quand celui-ci menaça, selon elle, sa liberté. Margarita donna comme raison que la seule idée de la monogamie lui donner la nausée mais Tissaia de Vries supposa qu'elle n'avait tout simplement pas su apprécier son amour.[3]

Dans Le Temps du Mépris[]


Dans Le Baptême du Feu[]


Dans La Dame du Lac[]


Après La Dame du Lac[]



Sous la plume de Sapkowski[]

— Attends un peu, Tissaia, dit l’autre femme, plus jeune, grande, aux cheveux clairs et qui portait une robe verte très décolletée. Je ne la connais pas. Elle n’est sans doute pas…
Le Temps du Mépris, Chapitre 2.


Dans un clapotis de vagues, Margarita Laux-Antille émergea du bassin en faisant gicler l’eau autour d’elle. Ciri ne put s’empêcher de l’observer. Elle avait vu Yennefer nue plus d’une fois et n’imaginait pas que quelqu’un puisse avoir une plus belle silhouette. Elle se trompait. En voyant Margarita Laux-Antille nue, les statues de marbre des déesses et des nymphes auraient elles-mêmes rougi de jalousie.
La magicienne saisit le seau en bois contenant l’eau froide et le renversa sur son buste ; elle s’ébroua et, ce faisant, jura avec indécence.

Le Temps du Mépris, Chapitre 2.


— Moi je suis apolitique, affirma Margarita Laux-Antille en relevant la tête. Et mon école l’est aussi. J’ai à l’esprit toutes les différentes variétés de politiques qui existent !
Le Baptême du Feu, Chapitre 1.


— La politique ne m’intéresse pas, affirma à haute voix Margarita Laux-Antille, la rectrice de l’académie de magie. Je ne souhaite tout simplement pas que l’on utilise les jeunes filles dont j’ai la charge comme condotiers, en perturbant leur esprit avec des slogans sur l’amour de la patrie. La patrie de ces jeunes filles est la magie, c’est cela que je leur enseigne. Si quelqu’un engage mes élèves dans la guerre, les place sur un nouveau mont Sodden, elles seront perdantes, indépendamment de l’issue de la bataille. Je comprends tes réserves, Enid, mais nous devons nous occuper de l’avenir de la magie, et non des problèmes raciaux.
Le Baptême du Feu, Chapitre 6.


Mais des portraits véritables, authentiques, il n’en existe pas. À deux exceptions près : celui de Margarita Laux-Antille, qui se trouve à Aretuza sur l’île de Thanedd, et qui a été miraculeusement épargné par l’incendie, et celui de Sheala de Tancarville au palais d’Ensenad à Lan Exeter.
La Dame du Lac, Chapitre 2.


Sur sa toilette en satin bordeaux, Margarita Laux-Antille portait un imposant collier en or sans pierres.
La Dame du Lac, Chapitre 4.


Apparitions[]

Notes et références[]

Notes[]


Références[]

  1. Le Baptême du Feu, Chapitre 1.
  2. Le Baptême du Feu, Chapitre 6.
  3. Le Temps du Mépris, Chapitre 2.