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Lebioda était un prophète.
Lebioda dans The Witcher[]
Dans The Witcher : Le Tome du Chaos[]
Description[]
- Le culte du prophète Lebioda naquit alors qu’il n’était qu’un modeste pâtre. Il sillonnait le Continent, déclamant des paraboles sur la vie, les dieux et les hommes, prêchant des sermons qui mettaient l’emphase sur la bonté et la compassion. En peu de temps, il réunit autour de lui des partisans. Les témoignages d’époque le décrivent comme un homme bon, qui avait pour vocation de persuader ceux qui voulaient bien l’écouter de se montrer bienveillants les uns envers les autres.
- L’existence mortelle de Lebioda se termina entre les mâchoires funestes d’un dragon qui l’avala tout cru pendant qu’il cherchait à le dissuader de dévaster un village. Après le trépas du prophète, de fidèles partisans s’aventurèrent à l’endroit où le dragon avait laissé des traces et retrouvèrent sa dépouille. Ils la lavèrent soigneusement et l’entreposèrent dans un reliquaire qui se trouve à présent dans le Grand Temple de Novigrad, où elle est exposée lors des célébrations. Durant ces occasions, les fidèles ont le droit d’embrasser la relique.
- Les acolytes du prophète ont diffusé son culte de son vivant et après sa mort. L’un des plus célèbres fut saint Plegmund, qui apporta la philosophie de Lebioda à Toussaint, une région dont il était tombé amoureux lors de son passage. Les visites du saint s’accompagnaient de miracles spectaculaires, comme la guérison de membres amputés et de maladies mortelles. Et ceci tout en prêchant l’amour et la compassion, et en tendant l’oreille aux nécessiteux et aux prières des croyants. Plegmund convertit le duché tout entier au culte de Lebioda, et les habitants érigèrent un immense monument en l’honneur du prophète sur les rives de la Sans-Retour et un temple à Beauclair.
- Le culte de Lebioda est largement répandu dans le Continent et ses enseignements ont été adoptés et adaptés par d’autres religions. Le Feu Éternel en particulier, dont le Grand Temple de Novigrad constitue le cœur du pouvoir, s’est appliqué à la réutilisation des écrits du prophète pour combler les vides philosophiques de son message. L’incorporation de ces livres aux textes sacrés ajoute une touche de bonté et de compassion à un dogme marqué par l’intransigeance.
Notes et références[]
Notes[]
Références[]