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Gerhart d'Aelle, connu sous le nom de Hen Gedymdeith, était un magicien et l'un des membres du Chapitre des Talents et des Arts.

Apparence et caractère[]

Gerhart d’Aelle était un homme plutôt âgé, mais robuste, vêtu d’un habit de laine singulièrement sobre.[1]

Gerhart d'Aelle dans la Saga[]

Avant Le Temps du Mépris[]

Durant le règne de Goidemar de Temeria, le roi fit venir des magiciens pour qu’ils examinent les Triplets d'Houtborg et établissent l’identité de chacun. Goidemar était tellement furieux qu’il était prêt à exécuter le bâtard de Falka en place publique dès qu’ils l’auraient découvert. Gerhart et les autres magiciens ne pouvaient permettre l'exécution d'un enfant âgé de deux ans à peine. Déjà qu'après la répression de la Rébellion de Falka, les rebelles arrêtés avaient été soumis à des atrocités inénarrables, il convenait d’y mettre enfin un terme. Après la découverte de la bâtarde, Adela, le groupe de magiciens, qui comprenait Tissaia de Vries, Augusta Wagner, Leticia Charbonneau et Francesca Findabair, feintent l'ignorance pour éviter l'exécution de la bâtarde. Ils expliquèrent au roi que l’affaire était compliquée, qu'ils poursuivaient leurs recherches, mais que cela nécessiterait du temps... beaucoup de temps. Goidemar, au fond, était un homme bon et noble, il recouvra vite son sang-froid et ne les pressa pas ; quant aux trois enfants, Amavet, Fiona et Adela, ils grandissaient et gambadaient dans le palais, faisant la joie du couple royal et de la cour.[2]

Dans Le Temps du Mépris[]

Sous la plume de Sapkowski[]

Les sorciers rassemblés s’écartèrent et s’inclinèrent respectueusement devant les personnalités qui pénétraient dans la salle. Le premier à s’avancer était un homme plutôt âgé, mais robuste, vêtu d’un habit de laine singulièrement sobre. À ses côtés se tenait une grande femme aux traits sévères et aux cheveux lisses et foncés.
— C’est Gerhart d’Aelle, connu sous le nom de Hen Gedymdeith, le plus âgé des sorciers vivants, expliqua Yennefer à mi-voix. La femme qui marche à ses côtés, c’est Tissaia de Vries. Elle n’a que quelques années de moins que Hen, mais elle utilise les élixirs sans vergogne.

Le Temps du Mépris, Chapitre 3.


Lorsque Yennefer l’avait présenté au Chapitre, il avait observé attentivement l’élite des magiciens. Hen Gedymdeith ne lui avait accordé qu’un bref regard fatigué – on voyait que le banquet avait eu le temps, déjà, de lasser et d’épuiser l’ancêtre.
Le Temps du Mépris, Chapitre 3.


— Il s’agit de l’union de Novigrad. Bekker, Giambattista et Monck concluent un compromis avec les autorités, les prêtres et les druides. Une sorte de pacte de non-agression garantissant la séparation de la magie et de l’État. C’est d’un démodé terrible. Allons plus loin. Tiens, ici nous voyons Geoffrey Monck en route pour le mont Pontar, qui s’appelait encore à l’époque Aevon y Pont ar Gwennelen, « la rivière des Ponts d’albâtre ». Monck navigua jusqu’à Loc Muinne pour inciter les elfes qui y vivaient à accueillir la Source, un groupe d’enfants qui devaient être éduqués par des mages elfiques. Tu seras peut-être surpris d’apprendre que parmi ces enfants se trouvait un petit garçon qu’on appellera plus tard Gerhart d’Aelle. Tu viens de faire sa connaissance. Aujourd’hui, ce petit garçon est devenu grand et s’appelle Hen Gedymdeith.
Le Temps du Mépris, Chapitre 3.


Publications[]

Notes et références[]

Notes[]


Références[]

  1. Le Temps du Mépris, Chapitre 3.
  2. Le Baptême du Feu, Chapitre 6.