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Freyja est la sainte patronne des divinatrices, des voyantes et des télépathes. En témoignent ses saints animaux : le chat, qui entend et voit ce qui est caché, et le faucon, qui voit de haut. En témoigne aussi son bijou : le Brisingamen, le collier de la clairvoyance.[1]

Apparence[]

La sculpture de Freyja du Temple d'Hindarsfjall, la représente vêtue d’amples vêtements qui trahissaient une grossesse exagérément soulignée par le sculpteur. Elle avait la tête inclinée et son visage était masqué par un foulard. Au-dessus des mains croisées de la déesse scintillait un brillant serti dans un collier en or. Couleur azur clair. Comme une eau très pure.[1] L'une des visions de Ciri, la représente comme une femme aux yeux dorés, tendues dans un geste de bénédiction. Sur le collier de la femme, un diamant, qui brille comme l’étoile du matin. Sur les épaules de la femme, un chat. Sur sa tête, un faucon.[2]

Freyja dans la Saga[]

Dans La Tour de l'Hirondelle[]

Freyja apparaît à Yennefer lors d'une vision, alors que la magicienne tente de profiter de l'aura du temple pour comprendre comment les prêtresses reçoivent leurs dons divinatoires sans étudier la magie. La personnalité de Freyja s'y révèle quelque peu, elle dit ainsi : « Le temps viendra, déclara la femme aux yeux d’or, où plus personne, pas même les enfants, ne croira aux sorcières. Je te dis cela par pure méchanceté. À titre de revanche. » Elle dit aussi préférer le temps où les humains ne savaient « qu'articuler des onomatopées dénuées de sens », et semble ne pas apprécier ce qu'est devenu le langage, et probablement la manipulation et les mensonges qu'ils permettent : « Peu à peu votre langage a cessé d’être au service du sens, poursuivit-elle. Il est devenu un art en soi, que vous jugez d’autant plus profond et intelligent qu’il est incompréhensible. »[1]

Sous la plume de Sapkowski[]

Au-dessus du modeste autel en marbre, sur lequel étaient posées des sculptures de chats et de faucons et la bassine destinée à recevoir les offrandes votives, dominait la statue de Modron Freyja, la Grande Mère. Figée dans une posture toute maternelle, elle était vêtue d’amples vêtements qui trahissaient une grossesse exagérément soulignée par le sculpteur. Elle avait la tête inclinée et son visage était masqué par un foulard. Au-dessus des mains croisées de la déesse scintillait un brillant serti dans un collier en or. Couleur azur clair. Comme une eau très pure. Il était énorme.
Il devait bien faire cent cinquante carats

La Tour de l'Hirondelle, Chapitre 9.


Iola la Première est agenouillée devant un autel. Près d’elle, la mère Nenneke. Leurs visages sont défigurés par la peur. Que voient-elles ? Le passé ou le futur ? La vérité ou le mensonge ?
Au-dessus de Nenneke et de Iola, des mains. Les mains d’une femme aux yeux dorés, tendues dans un geste de bénédiction. Sur le collier de la femme, un diamant, qui brille comme l’étoile du matin. Sur les épaules de la femme, un chat. Sur sa tête, un faucon.

La Tour de l'Hirondelle, Chapitre 11.


Notes et références[]

Notes[]

  1. ↑ À noter, que Yennefer prend cette vision comme une illusion, une transe ou une intervention des prêtresses [1] et que Sapkowski mentionne dans une interview, qu'il n'y a pas de présence de divinités dans la Saga mais simplement des croyances.[3]
  2. Freyja est déesse majeure des mythologies germanique et nordique.

Références[]

  1. 1,0 1,1 1,2 et 1,3 La Tour de l'Hirondelle, Chapitre 9.
  2. La Tour de l'Hirondelle, Chapitre 11.
  3. WIEDŹMIN I HISTORIA. WYWIAD Z ANDRZEJEM SAPKOWSKIM
    Andrzej Brzozowski: Ale przecież sugeruje Pan obecność bogów, choć bardzo delikatnie.
    Andrzej Sapkowski: W ogóle ich nie ma. Są kapłani, ale to nie oznacza obecności Boga. Jest natomiast nietolerancja, nienawiść do wszystkiego, co jest odmienne lub odważa się być odmienne. Jest zwyczajna zawiść, walka o pieniądze i wpływy. Jeżeli czarodziejki leczą lepiej niż kapłani, to kapłani tracą dochody. Dziwić się, że wyklinają magię i nawołują do palenia na stosie?