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Demavend III est le fils de Virfuril, roi d'Aedirn. Il eut une liaison avec Dameretta qui lui donna un fils, Baldwin de Guleta.[1]

Demavend III dans The Witcher[]

Dans The Witcher 2: Assassins of Kings[]

Entrée de Journal[]

Demavend, fils de Virfuril, régna sur le royaume d'Aedirn, extrêmement affaibli par la guerre contre Nilfgaard. C'était un fervent défenseur de l'autoritarisme, également réputé pour ne pas porter les non-humains dans son coeur, comme l'attestaient par ailleurs les mesures radicales qu'il avait tendance à prendre contre les Scoia'tael et les expéditions punitives qu'il organisait contre les dryades de Brokilon. Il ne rechignait pas non plus à torturer les agitateurs et les prophètes de rue qui interféraient avec sa politique. Autant dire que ses détracteurs étaient nombreux. Sa mort fut pourtant une surprise pour ses sujets. Il faut dire que ce n'est pas tous les jours qu'une tête couronnée repeint les sols de son palais avec son sang.

Dans Gwent: The Witcher Card Game[]

Arbre des récompenses[]

Parchemin 1 : Demavend possédait bien des qualités qui le prédisposaient à la grandeur. Il était bien éduqué, rusé, ingénieux, et un véritable maître de l'intrigue politique. Malheureusement, il était aussi terriblement impatient.
Parchemin 2 : Le roi Demavend n'était jamais satisfait par le présent. Son regard était constamment tourné vers le lendemain et vers les exploits qu'apporterait son futur ; il avait le plus grand mépris pour la vie mondaine de la cour. Tandis que ses conseillers l'ennuyaient à mourir en lui parlant de régulations fiscales, dans sa tête se jouaient déjà les conquêtes à venir…
Parchemin 3 : Les voisins d'Aedirn comprirent vite que Demavend ne pouvait accepter de compromis. Son royaume s'étendit à la manière d'un pain cuit trop à l'étroit, gonflant démesurément dans toutes les directions à la fois. Ce n'était pas sans rappeler l'empire du Nilfgaard…
Parchemin 4 : Lorsque les forces nilfgaardiennes finirent par franchir la Iaruga, un vent de panique se répandit chez tous les souverains du Nord, à l'exception d'un seul : le roi Demavend. Celui-ci se réjouissait de pouvoir, enfin, affronter un ennemi digne de la puissance d'Aedirn ! Son enthousiasme fut, bien entendu, de courte durée.
Coffre 1 : Quoiqu'il ne reste plus aujourd'hui quiconque d'assez vieux pour s'en souvenir, Demavend était autrefois un jeune homme de belle stature, dont Foltest lui-même aurait envié le profil. Les jeunes femmes se pâmaient lorsque leur regard croisait ses yeux d'un vert d'émeraude… Des années d'abondance, cependant, ont laissé leur marque. Un ventre rebondi et des joues bien roses témoignent de ce que le roi n'a jamais manqué de mets somptueux et de riches breuvages. Son cou gras et ses épaules courbées sont le signe d'un commandant qui préfère un trône tapissé de soie à la selle d'un cheval…
Coffre 2 : La haine qu'entretenait Demavend pour les elfes était légendaire. Si Vizimir et Foltest combattaient les Écureuils par nécessité, le roi d'Aedirn, lui, traquait les rebelles avec grand plaisir. Malgré l'état des coffres royaux, vidés par la guerre contre Nilfgaard, Demavend offrait 50 ducats pour chaque tête de Scoia'tael. Afin de profiter de la récompense, les habitants d'Aedirn n'hésitaient pas à capturer et accuser à tort des elfes et des nains innocents. Demavend savait pertinemment que ses sujets abusaient de la situation, mais ne parut pas s'en soucier le moins du monde…
Coffre 3 : Sous sa couronne, Demavend portait toujours un bonnet blanc cousu de fil d'or, même au cœur des étés les plus étouffants. Pourquoi ? Car le roi, fort coquet, ne supportait pas de dévoiler sa calvitie. Bien des alchimistes et des barbiers se succédèrent auprès de lui, chacun promettant qu'il rendrait au roi d'Aedirn sa luxuriante chevelure. Tous, jusqu'au dernier, finirent leurs jours dans les donjons d'Aldersberg, privés, pour leur échec, de leur liberté… et de leur scalp.

Apparitions[]


Notes et références[]

Notes[]


Références[]