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Le Culte du Feu Éternel est l'une des religions du Continent.

Prêtre(sses) notables[]

Culte du Feu Éternel dans The Witcher[]

Dans The Witcher[]

Entrée de Journal[]

Les disciples du Feu Éternel croient en la Flamme Éternelle, symbole de survie et de chemin à suivre dans les ténèbres. Pour eux, elle est un présage de progrès et de jours meilleurs. Les prêtres du Feu Éternel s’occupent des fidèles et des temples, dans lesquels une flamme brûle en permanence ; La branche militante de cette religion est l’Ordre de la Rose-Ardente.

Dans The Witcher : Le Tome du Chaos[]

Description[]

Le Feu Éternel n’est pas une divinité. Les écritures Le décrivent comme une force divine, le pouvoir qui alimente les cœurs des dieux et des mortels dans le combat perpétuel contre le mal. Son Église est un phare dans l’obscurité du monde, un guide spirituel et un moteur de progrès et d’évolution. Son but consiste à protéger les fidèles du mal, qu’il se niche en leur sein ou qu’il s’agisse de forces externes susceptibles de les blesser ou de les corrompre.
Les représentants du Feu Éternel sont présents dans tout le Nord, dans la majorité des villes et de nombreux villages. Le cœur de l’Église réside dans la ville libre de Novigrad, qui abrite en tout dix-neuf temples dédiés à cette religion. Le plus imposant d’entre tous est le Grand Temple du Feu Éternel, siège du hiérarque de Novigrad. Ce dernier est élu par le collège électoral de Novigrad, un corps composé de prêtres et de notables respectables qui remplissent ce faisant un devoir civique. En ville, le pouvoir de l’Église s’étend à une vitesse galopante, au point que des gens s’inquiètent de la voir saper le gouvernement civil.
Dans les villes et les villages des Royaumes du Nord, le Feu Éternel offre un sentiment de sécurité à la population. Malgré sa moralité intransigeante, elle n’a aucune envie de voir ses fidèles succomber aux forces des ténèbres et fait son possible pour les soutenir ou leur offrir la charité dans les moments tragiques. Quand l’identité de l’ennemi paraît moins évidente, le fidèle est tenté de regarder le fond de sa bourse et de s’interroger sur ce que l’Église compte faire pour la remplir. Les prêtres ont donc été obligés d’étendre leur définition du « mal ». Le juste courroux purificateur s’abat sur les non-humains, les sorciers et sorcières, et tous ceux qui menacent la congrégation. Les principes impitoyables de l’Église attirent les fanatiques qui agissent ensuite selon leur interprétation personnelle des écritures.
Pour se débarrasser des êtres maléfiques, la méthode la plus efficace et la plus populaire réside dans le pouvoir purificateur des flammes dont la mise en œuvre varie à l’occasion, et notamment dans les bûchers. Brûler la sorcière sur la place du village est le genre de déclaration qui pousse les gens à reconsidérer leurs croyances et qui s’accroche à eux sans jamais les lâcher, au risque d’être à leur tour jugés « maléfiques ». Le Feu Éternel a ses propres inquisiteurs pour débusquer et interroger les suspects avec des moyens de torture qui impliquent en général des flammes et des fers rouges. Les prêtres se reconnaissent à leur soutane rouge et blanche, souvent brodée d’une croix noire entourée d’un filigrane doré. La cléricature attire surtout les hommes, mais on compte quelques femmes dans les rangs des prêtres zélotes. L’Église dispose aussi de personnel laïc, dont les chasseurs de sorcières et les Gardes du Temple de Novigrad, une escouade de soldats dévoués

Notes et références[]

Notes[]


Références[]


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