Ain Soph Aur
Ce traité mystique d’un auteur inconnu est consacré aux dix séfirot. Il a été écrit bien avant la colonisation du monde par les humains, récupéré aux prix d’énormes efforts et fidèlement traduit du gnome
Dix éléments, dix pierres angulaires. Tout vient de ces dix composants. Toi qui cherches, lève les yeux, observe ton passé et tu trouveras.
Celui qui connaît ton parcours détient la Sagesse et la partagera lorsqu’on lui demandera. Un autre détient des richesses incalculables mais son cœur est plein de splendeur. Le tien, de cœur, ne connaît pas la Miséricorde mais il sait aimer. Autrefois aveugle, tu peux aujourd’hui plonger dans ton esprit, dans ta mémoire. Le chemin de l’esclavage au Royaume promis est sombre et dangereux. Une trois fois déesse : Vièrge, Mère, Vieille femme. Trois visages, trois grâces : le Discernement, la Force, la Gloire. A portée de sacrifice et de prière. La Fondation du monde se trouve dans les abysses. Ne te laisse pas vaincre par les feux croisés. A toi de vaincre la mort pour remporter la récompense. La Victoire ne peut s’obtenir qu’en combattant ses sentinelles. Le guide des mystères du labyrinthe t’offrira la Couronne de la conscience. Au bout de la route, tu trouveras la conscience, tu comprendras. Ce qui est fermé s’ouvrira devant toi. Les dix noms sont : Hokma, la Sagesse ; Bina, le discernement ; Hesed, la miséricorde ; Tiferet, la Splendeur ; Gebura, la Force ; Nesah, la Victoire ; Hod, la Gloire ; Yesod, la Fondation du monde ; Malkut, le Royaume ; keter Elyon, la couronne.
Ce livre ajoute un lieu dans le journal