Sorceleur Wiki

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Aglaïs est une hamadryade de Brokilon.

Aglaïs dans The Witcher[]

Dans Gwent: The Witcher Card Game[]

Arbre des récompenses[]

Parchemin 1 : Aglaïs était la grande guérisseuse de Col Serrai, la célèbre vallée des sources chaudes, lorsque Geralt de Riv y arriva, en très mauvais état. Le sorceleur avait été blessé grièvement lors de son duel avec le sorcier Vilgefortz, sur l'île de Thanedd, et avait terriblement besoin d'aide. Sans les pouvoirs de guérison de l'hamadryade, il n'aurait jamais plus été capable de se battre.
Parchemin 2 : La supérieure des guérisseuses de Col Serrai était notoirement taciturne. Cette attitude s'expliquait simplement : Aglaïs n'avait jamais vu quiconque se remettre plus vite grâce à de vains bavardages. Elle choisissait donc prudemment ses mots et parlait seulement lorsque la situation l'exigeait. Quand elle n'avait pas besoin de gaspiller sa salive, elle s'en abstenait.
Parchemin 3 : Outre les forces de la nature, la grande guérisseuse utilisait l'eau de la forêt et des rhizomes thérapeutiques : principalement la fameuse association de conynhael et de consoude pourpre. Toutefois, le don extraordinaire de l'hamadryade était l'élément clé pour soigner les blessures les plus graves.
Parchemin 4 : Étonnamment, et contrairement aux croyances populaires sur les dryades et leurs semblables, Aglaïs soignait de la même façon humains et non-humains. Si quelqu'un était malade ou blessé, quelle que soit sa nature ou son identité, elle faisait tout son possible pour qu'il se rétablisse.
Coffre 1 : Il y a longtemps, Aglaïs se fit une promesse.
Grâce au destin favorable et à ses talents remarquables, elle put tenir cette promesse. Dès son plus jeune âge, quand elle n'était encore qu'un moucheron rampant au milieu des arbres, elle fit preuve d'un talent inné de guérison, même pour une hamadryade. C'est pour cette raison que Dame Eithné ne l'incita jamais à prendre les armes. Elle ne força jamais Aglaïs à rompre son vœu de pacifisme, pas même en période de guerre. La guérisseuse rechignait à l'idée de tuer. Elle acceptait la mort comme la fin naturelle de toute chose vivante, mais rejetait la possibilité de l'infliger à autrui.
Elle ne le fit donc jamais.

Notes et références[]

Notes[]


Références[]